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1- Le plan : indispensable !
Pour les dissertations, les exposés, les oraux, demain
les mémoires de stage,… il vous faut bâtir les fondations avant
d’attaquer la rédaction. Bien sûr, il vous semble que cela bride votre
créativité, votre force de conviction. Et surtout que c’est… dur, mais
il y a des techniques. Démonstration.
2- Recette pour un plan en « béton »
La problématique
Avant toute chose, cela paraît simplissime, lisez bien
l’énoncé. Toute votre conviction et votre enthousiasme ne seront pas
récompensés si vous êtes… hors sujet. Ensuite on dégage la…
problématique. C’est cette question qui va vous guider de
l’introduction jusqu’à la conclusion.
Chaque partie du plan élabore une partie de la réponse.
Comment la trouver ? En se posant quelques questions : sous quels
angles différents peut-on traiter le sujet ? Les mots clés de l’énoncé
sont-ils opposés ? Liés ? À « double sens » ? On cherche, on creuse :
une seule phrase doit suffire à résumer cette fameuse problématique
qu’il va falloir tenter de « résoudre ».
Trouver des idées… et défendre une opinion
Notez au brouillon tout ce qui vous vient à l’esprit, associations d’idées, références, citations.
Il est bien de prendre du recul en vérifiant de temps à autre que vous
ne faites pas fausse route. Et exprimez-vous. A force de faire des
dissertations en employant le « nous », on a l’impression qu’on ne doit
pas prendre parti, ni exprimer une opinion. Que nenni. Si votre
argumentation est détaillée et convaincante, même si elle sort du cadre
des idées du professeur et du « cours », c’est une bonne chose, appréciée des profs !
A présent, on regroupe !
Regroupez ensuite les idées par thèmes similaires ou en
suivant une pyramide qui va du plus général au particulier (exposé là
encore mais surtout mémoire ou rapport de stage).
Les idées qui vous semblent n’entrer dans aucune des grandes parties,
on les oublie.
Puis on fait monter le suspens et on rédige son plan
Enchaînez les idées, pensez à la logique de votre discours et laissez
la dernière partie pour exprimer votre opinion et répondre à la
problématique (ne « grillez » pas vos cartouches…). Ensuite, on rédige
son plan : les grandes parties, les sous-parties. Ce travail peut vous
sembler rébarbatif et être une perte de temps, surtout lors d’un DS.
Mais c’est le garant du succès ! Une fois les fondations faites, les
« murs » vont se construire tout seuls ou presque.
Les puristes vous le diront :
On dégage trois grandes parties (ou deux, mais alors supersolides) bien
équilibrées et on divise à nouveau en petits paragraphes.
On rédige son introduction et sa conclusion avant d’attaquer (quitte à
modifier un peu ensuite). Pourquoi ? Cela fixe votre esprit sur un
début et une fin… et du coup, cela vous aide. Savoir où votre cerveau
et votre plume doivent arriver, c’est un guide précieux pour une
rédaction fluide.
3- Les règles d’or de l’introduction et de la conclusion
1- L’intro
a.L’entrée en matière : recadrez le sujet dans son contexte, l’importance
de la problématique en évitant les grandes généralités (« de tout
temps, les hommes se sont demandé », « depuis toujours »…)
b.Réintroduire le sujet, posez votre problématique et déroulez votre
plan. « D’abord », « ensuite », « pour finir »… ne sont pas des
expressions très originales mais… au moins superefficaces. On les garde
en tête !
2- La conclusion
a. Et encore une fois, répétez la problématique (on sait, c’est un peu
fastidieux mais encore une fois… ça marche) et la réponse que vous
apportez.
b. Ouvrez sur le 2e épisode ! Quels autres problèmes peut-on poser sur cette thématique, pourquoi ?
1- Le plan : indispensable !
Pour les dissertations, les exposés, les oraux, demain
les mémoires de stage,… il vous faut bâtir les fondations avant
d’attaquer la rédaction. Bien sûr, il vous semble que cela bride votre
créativité, votre force de conviction. Et surtout que c’est… dur, mais
il y a des techniques. Démonstration.
2- Recette pour un plan en « béton »
La problématique
Avant toute chose, cela paraît simplissime, lisez bien
l’énoncé. Toute votre conviction et votre enthousiasme ne seront pas
récompensés si vous êtes… hors sujet. Ensuite on dégage la…
problématique. C’est cette question qui va vous guider de
l’introduction jusqu’à la conclusion.
Chaque partie du plan élabore une partie de la réponse.
Comment la trouver ? En se posant quelques questions : sous quels
angles différents peut-on traiter le sujet ? Les mots clés de l’énoncé
sont-ils opposés ? Liés ? À « double sens » ? On cherche, on creuse :
une seule phrase doit suffire à résumer cette fameuse problématique
qu’il va falloir tenter de « résoudre ».
Trouver des idées… et défendre une opinion
Notez au brouillon tout ce qui vous vient à l’esprit, associations d’idées, références, citations.
Il est bien de prendre du recul en vérifiant de temps à autre que vous
ne faites pas fausse route. Et exprimez-vous. A force de faire des
dissertations en employant le « nous », on a l’impression qu’on ne doit
pas prendre parti, ni exprimer une opinion. Que nenni. Si votre
argumentation est détaillée et convaincante, même si elle sort du cadre
des idées du professeur et du « cours », c’est une bonne chose, appréciée des profs !
A présent, on regroupe !
Regroupez ensuite les idées par thèmes similaires ou en
suivant une pyramide qui va du plus général au particulier (exposé là
encore mais surtout mémoire ou rapport de stage).
Les idées qui vous semblent n’entrer dans aucune des grandes parties,
on les oublie.
Puis on fait monter le suspens et on rédige son plan
Enchaînez les idées, pensez à la logique de votre discours et laissez
la dernière partie pour exprimer votre opinion et répondre à la
problématique (ne « grillez » pas vos cartouches…). Ensuite, on rédige
son plan : les grandes parties, les sous-parties. Ce travail peut vous
sembler rébarbatif et être une perte de temps, surtout lors d’un DS.
Mais c’est le garant du succès ! Une fois les fondations faites, les
« murs » vont se construire tout seuls ou presque.
Les puristes vous le diront :
On dégage trois grandes parties (ou deux, mais alors supersolides) bien
équilibrées et on divise à nouveau en petits paragraphes.
On rédige son introduction et sa conclusion avant d’attaquer (quitte à
modifier un peu ensuite). Pourquoi ? Cela fixe votre esprit sur un
début et une fin… et du coup, cela vous aide. Savoir où votre cerveau
et votre plume doivent arriver, c’est un guide précieux pour une
rédaction fluide.
3- Les règles d’or de l’introduction et de la conclusion
1- L’intro
a.L’entrée en matière : recadrez le sujet dans son contexte, l’importance
de la problématique en évitant les grandes généralités (« de tout
temps, les hommes se sont demandé », « depuis toujours »…)
b.Réintroduire le sujet, posez votre problématique et déroulez votre
plan. « D’abord », « ensuite », « pour finir »… ne sont pas des
expressions très originales mais… au moins superefficaces. On les garde
en tête !
2- La conclusion
a. Et encore une fois, répétez la problématique (on sait, c’est un peu
fastidieux mais encore une fois… ça marche) et la réponse que vous
apportez.
b. Ouvrez sur le 2e épisode ! Quels autres problèmes peut-on poser sur cette thématique, pourquoi ?