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Topic de l'Actu
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Re: Topic de l'Actu
l'Autre match du groupe H s'est soldé par un nul qui fait notre affaire : Rwanda 1-1 Benin
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Énorme pression sur le Mali qui n'a pas le droit à l'erreur ce soir à nous de jouer
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Re: Topic de l'Actu
La composition quasi-officielle de l'Algérie face au Mali.
3ami Vahid
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Re: Topic de l'Actu
mais on perdu
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Re: Topic de l'Actu
BillyCool a écrit:mais on perdu
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Re: Topic de l'Actu
bravo quand même l'ENTV
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Re: Topic de l'Actu
LA GRÈVE CONTINUE :
La ville de Béjaïa est paralysée depuis quelques jours par une grève des transporteurs urbains privés qui ont décidé d’augmenter le tarif des tickets, de 5 dinars. Les citoyens refusent catégoriquement. Les transporteurs urbains privés au nombre de 283, à travers leur association, ont tout de même insisté, pour, disent-ils, «aligner la tarification avec celle de la régie communale (UTUB) qui est fixée à 15 DA».
«On n’est pas en grève, on a juste mis en stationnement nos bus», a déclaré sur l’antenne de la Radio locale, Riad Boudrâa, président du syndicat de l’Union Nationale Algérienne des Transporteurs, qui justifie cette hausse par «l’importance des charges auxquelles butent les transporteurs», lesquelles, y voit-il, ont «réduit drastiquement» leur revenu.
«De plus, la hausse n’est pas imposante. C’est quoi 15 dinars. Ca ne paie même pas un café, alors qu’en parallèle tout a augmenté, qu’il s’agisse de pneumatiques, de lubrifiants etc.» a-t-il ajouté, notant que «le tarif de 10 dinars n’a pas subi de variations depuis plus d’une décennie, alors qu’ailleurs, dans toutes les grandes villes du pays, le prix est passé à 15 dinars».
Un argumentaire qui visiblement n’accroche pas l’adhésion, ni des usagers, ni de leur représentant. Mohamed Bedjou, président de l’association de la cité douanière en est de cela, estimant qu’au demeurant «la crise est générale. Elle affecte tout le monde mais tout particulièrement les franges défavorisées». «Comment va s’en sortir quelqu’un qui touche le SMIG ? Avec 3 ou 4 enfants à charge, il va consacrer, désormais, la moitié de son revenu, pour le transport familial. C’est injuste, c’est immoral», s’est-t-il révolté.
"El watan"
La ville de Béjaïa est paralysée depuis quelques jours par une grève des transporteurs urbains privés qui ont décidé d’augmenter le tarif des tickets, de 5 dinars. Les citoyens refusent catégoriquement. Les transporteurs urbains privés au nombre de 283, à travers leur association, ont tout de même insisté, pour, disent-ils, «aligner la tarification avec celle de la régie communale (UTUB) qui est fixée à 15 DA».
«On n’est pas en grève, on a juste mis en stationnement nos bus», a déclaré sur l’antenne de la Radio locale, Riad Boudrâa, président du syndicat de l’Union Nationale Algérienne des Transporteurs, qui justifie cette hausse par «l’importance des charges auxquelles butent les transporteurs», lesquelles, y voit-il, ont «réduit drastiquement» leur revenu.
«De plus, la hausse n’est pas imposante. C’est quoi 15 dinars. Ca ne paie même pas un café, alors qu’en parallèle tout a augmenté, qu’il s’agisse de pneumatiques, de lubrifiants etc.» a-t-il ajouté, notant que «le tarif de 10 dinars n’a pas subi de variations depuis plus d’une décennie, alors qu’ailleurs, dans toutes les grandes villes du pays, le prix est passé à 15 dinars».
Un argumentaire qui visiblement n’accroche pas l’adhésion, ni des usagers, ni de leur représentant. Mohamed Bedjou, président de l’association de la cité douanière en est de cela, estimant qu’au demeurant «la crise est générale. Elle affecte tout le monde mais tout particulièrement les franges défavorisées». «Comment va s’en sortir quelqu’un qui touche le SMIG ? Avec 3 ou 4 enfants à charge, il va consacrer, désormais, la moitié de son revenu, pour le transport familial. C’est injuste, c’est immoral», s’est-t-il révolté.
"El watan"
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Re: Topic de l'Actu
Vive la marche à pieds!
(Ou pas xD)
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Re: Topic de l'Actu
Béjaïa Tout aurait commencé après une altercation entre un jeune du quartier et une étudiante
Bataille rangée à la cité U d’Iryahen
Il régnait une anarchie indescriptible, hier dans l’enceinte de la résidence universitaire Iryahen, à la sortie Est de la ville de Béjaïa. Des affrontements ont éclaté, en début d’après-midi entre des étudiants résidents et des habitants du lotissement 27 de Sidi Ali Lebhar. Une bataille rangée, entre les deux parties, qui s’est soldée par une intervention musclée des forces antiémeutes. Selon nos sources, une altercation, entre un jeune résident du quartier de Sidi Ali Lebhar et une jeune étudiante résidente de la cité universitaire Iryahen, serait à l’origine de ces affrontements. Un témoin oculaire assure que plusieurs blessés ont été enregistrés des deux cotés, dont un se trouverait dans un état critique. Les forces antiémeutes, dépêchées depuis les casernes d’Oued Ghir et d’Aokas pour s’interposer entre les deux camps, ont éprouvé toutes les peines du monde à faire revenir le calme. Nous y reviendrons.
DDK
Bataille rangée à la cité U d’Iryahen
Il régnait une anarchie indescriptible, hier dans l’enceinte de la résidence universitaire Iryahen, à la sortie Est de la ville de Béjaïa. Des affrontements ont éclaté, en début d’après-midi entre des étudiants résidents et des habitants du lotissement 27 de Sidi Ali Lebhar. Une bataille rangée, entre les deux parties, qui s’est soldée par une intervention musclée des forces antiémeutes. Selon nos sources, une altercation, entre un jeune résident du quartier de Sidi Ali Lebhar et une jeune étudiante résidente de la cité universitaire Iryahen, serait à l’origine de ces affrontements. Un témoin oculaire assure que plusieurs blessés ont été enregistrés des deux cotés, dont un se trouverait dans un état critique. Les forces antiémeutes, dépêchées depuis les casernes d’Oued Ghir et d’Aokas pour s’interposer entre les deux camps, ont éprouvé toutes les peines du monde à faire revenir le calme. Nous y reviendrons.
DDK
bouclette- Aide architecte
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- Message n°60
Re: Topic de l'Actu
Le patrimoine architectural du Mali en péril
Les islamistes armés occupant le nord du Mali ont suspendu dimanche après-midi les démolitions de mausolées de saints musulmans à Tombouctou. Pour combien de temps ?
publié le 01/07/2012
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Au total, sept des seize mausolées de cette ville mythique, généralement en terre crue, ont été détruits en deux jours: après les sanctuaires de Sidi Mahmoud (nord de la ville), Sidi Moctar (nord-est) et Alpha Moya (est) samedi, les hommes du groupe Ansar Dine ont démoli dimanche à coups de houes et burins quatre autres mausolées, dont celui de Cheikh el-Kébir, situés dans l'enceinte du cimetière de Djingareyber (sud), selon un témoin.
Les mausolées, avec des tombes portant des stèles et autres insignes funéraires, sont d'importants sites de recueillement. Les opérations de démolition sont menées par Ansar Dine (Défenseur de l'islam), un des groupes armés occupant et contrôlant depuis trois mois Kidal, Gao (nord-est) et Tombouctou (nord-ouest), les régions formant le nord du Mali. Les islamistes armés ont profité de la confusion créée à Bamako par un coup d'Etat le 22 mars pour accélérer leur offensive déclenchée depuis mi-janvier dans cette région.
Patrimoine mondial de l'Unesco
Le porte-parole d'Ansar Dine à Tombouctou a déclaré que le groupe agissait « au nom de Dieu » et en représailles à la décision de l'Unesco, le 28 juin, d'inscrire Tombouctou sur la liste du patrimoine mondial en péril. L'agence onusienne a estimé que la présence des islamistes mettait en danger cette ville mythique, surnommée « la cité des 333 saints » en référence aux personnages vénérés de son passé qui y gisent.
Tombouctou compte trois grandes mosquées: Djingareyber, Sankoré et Sidi Yahia, joyaux architecturaux témoignant de son apogée, toutes trois sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
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Les islamistes armés occupant le nord du Mali ont suspendu dimanche après-midi les démolitions de mausolées de saints musulmans à Tombouctou. Pour combien de temps ?
publié le 01/07/2012
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Au total, sept des seize mausolées de cette ville mythique, généralement en terre crue, ont été détruits en deux jours: après les sanctuaires de Sidi Mahmoud (nord de la ville), Sidi Moctar (nord-est) et Alpha Moya (est) samedi, les hommes du groupe Ansar Dine ont démoli dimanche à coups de houes et burins quatre autres mausolées, dont celui de Cheikh el-Kébir, situés dans l'enceinte du cimetière de Djingareyber (sud), selon un témoin.
Les mausolées, avec des tombes portant des stèles et autres insignes funéraires, sont d'importants sites de recueillement. Les opérations de démolition sont menées par Ansar Dine (Défenseur de l'islam), un des groupes armés occupant et contrôlant depuis trois mois Kidal, Gao (nord-est) et Tombouctou (nord-ouest), les régions formant le nord du Mali. Les islamistes armés ont profité de la confusion créée à Bamako par un coup d'Etat le 22 mars pour accélérer leur offensive déclenchée depuis mi-janvier dans cette région.
Patrimoine mondial de l'Unesco
Le porte-parole d'Ansar Dine à Tombouctou a déclaré que le groupe agissait « au nom de Dieu » et en représailles à la décision de l'Unesco, le 28 juin, d'inscrire Tombouctou sur la liste du patrimoine mondial en péril. L'agence onusienne a estimé que la présence des islamistes mettait en danger cette ville mythique, surnommée « la cité des 333 saints » en référence aux personnages vénérés de son passé qui y gisent.
Tombouctou compte trois grandes mosquées: Djingareyber, Sankoré et Sidi Yahia, joyaux architecturaux témoignant de son apogée, toutes trois sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
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Keyser Söze- Admin
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Re: Topic de l'Actu
Hier une baleine blanche de 8m a été retrouvée échouée sur la plage de Ait Mendil (50km à l'Ouest de la ville de Béjaia)
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Re: Topic de l'Actu
Keyser Söze a écrit:Hier une baleine blanche de 8m a été retrouvée échouée sur la plage de Ait Mendil (50km à l'Ouest de la ville de Béjaia)
ay la pauvre!! aprés les dauphins c'est le tour des baleines maintenant!
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Re: Topic de l'Actu
Pauvre petite baleine T___T
J'ai toujours voulu entendre le chant d'une baleine bleue *o* Ma soeur par contre, c'est l'une de ses plus grandes frayeurs x)
J'ai toujours voulu entendre le chant d'une baleine bleue *o* Ma soeur par contre, c'est l'une de ses plus grandes frayeurs x)
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Re: Topic de l'Actu
Volley-ball Deuxième tournoi du play-off seniors hommes
Le MB Béjaïa sacré champion d’Algérie
Le MB Béjaïa sacré champion d’Algérie
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Re: Topic de l'Actu
Un accident vient d'avoir lieu à Ihaddaden au niveau du Lycée des 300logts, un véhicule s'est renversé, les pompiers sont en ce moment même entrain d'essayer d'extraire le ou les passagers. inchalahe salamat
bouclette- Aide architecte
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Re: Topic de l'Actu
*JOKER* a écrit:Un accident vient d'avoir lieu à Ihaddaden au niveau du Lycée des 300logts, un véhicule s'est renversé, les pompiers sont en ce moment même entrain d'essayer d'extraire le ou les passagers. inchalahe salamat
inchalahe salamate!!!
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- Message n°68
Re: Topic de l'Actu
Man L'Athlète est connectè a partir de BET
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Re: Topic de l'Actu
La trémie d’Âamriw sera livrée totalement à partir du 15 août prochain
» La trémie d’Amriou dont une partie a été réceptionnée dernièrement, sera achevée définitivement et livrée à la circulation à partir du 15 août prochain et que le retard accusé est dû à une pénurie de ciment sur le marché. En effet, l’indisponibilité du ciment à Béjaïa et même sur le territoire national a pénalisé la wilaya dans l’achèvement de certains projets très importants » . déclaré le wali M. Hammou-Ahmed Touhami en marge de sa visite d’inspection à Aokas .
Par ailleurs,le wali a soulevé les difficultés rencontrées par l’entreprise nationale de réalisation de l’échangeur des 4 chemins (ENGOA) suite à l’opposition de la compagnie Sonatrach de Béjaïa qui a poursuivi la compagnie en justice, en soulignant : «Certes, Sonatrach a posé le problème du pipe-line qui traverse cette route, mais les études réalisées pour la réalisation de ce projet ont pris en considération l’existence de cette canalisation pétrolière et toutes les dispositions ont été prises pour préserver et éviter de toucher à la trajectoire de ce pipe-line. Mais cette société n’a pas pris en considération le fait que ce projet soit d’utilité publique et non de nature privée. Cet échangeur permettra de régler définitivement les nombreux embouteillages et les goûlots d’étranglement que rencontre quotidiennement la ville de Béjaïa et Sonatrach doit prendre en compte cet aspect général. Les ministères de l’Énergie et des Mines, ainsi que celui des Travaux publics ont été saisis par mes soins pour qu’il y ait un arbitrage. Dans l’intérêt général, je défendrai la réalisation de cet échangeur, quitte à ce que sonatrach, qui dans cette opération, procèdera au changement de son pipe-line qui date de 1958 vers un autre endroit. Cette société doit s’inscrire dans l’étude du développement et la modernisation que connaît la wilaya et les travaux se poursuivront jusqu’à sa réalisation totale.» Certes, plusieurs projets en hibernation ont été lancés grâce au courage et à la volonté inébranlable du wali qui s’est totalement impliqué depuis son arrivée dans les grands chantiers que connaît la wilaya de Béjaïa. Par ailleurs, le calvaire des usagers de la RN26 reliant Béjaïa à Bouira se poursuit avec les nombreux encombrements sur cet axe où il faut plus de trois heures d’attente dans des embouteillages interminables pour traverser les 50 kilomètres qui séparent la ville de Tazmalt et celle d’El-Kseur. En attendant la réalisation de l’évitement de Sidi Aïch et surtout le lancement de la pénétrante vers l’autoroute Est- Ouest, les usagers de l’axe de la vallée de la Soummam doivent encore tenir, pour quelques années, leur mal en patience, jusqu’à la réalisation de ces deux projets en phase d’étude.
M. LAOUER - bejaiainfo.com
» La trémie d’Amriou dont une partie a été réceptionnée dernièrement, sera achevée définitivement et livrée à la circulation à partir du 15 août prochain et que le retard accusé est dû à une pénurie de ciment sur le marché. En effet, l’indisponibilité du ciment à Béjaïa et même sur le territoire national a pénalisé la wilaya dans l’achèvement de certains projets très importants » . déclaré le wali M. Hammou-Ahmed Touhami en marge de sa visite d’inspection à Aokas .
Par ailleurs,le wali a soulevé les difficultés rencontrées par l’entreprise nationale de réalisation de l’échangeur des 4 chemins (ENGOA) suite à l’opposition de la compagnie Sonatrach de Béjaïa qui a poursuivi la compagnie en justice, en soulignant : «Certes, Sonatrach a posé le problème du pipe-line qui traverse cette route, mais les études réalisées pour la réalisation de ce projet ont pris en considération l’existence de cette canalisation pétrolière et toutes les dispositions ont été prises pour préserver et éviter de toucher à la trajectoire de ce pipe-line. Mais cette société n’a pas pris en considération le fait que ce projet soit d’utilité publique et non de nature privée. Cet échangeur permettra de régler définitivement les nombreux embouteillages et les goûlots d’étranglement que rencontre quotidiennement la ville de Béjaïa et Sonatrach doit prendre en compte cet aspect général. Les ministères de l’Énergie et des Mines, ainsi que celui des Travaux publics ont été saisis par mes soins pour qu’il y ait un arbitrage. Dans l’intérêt général, je défendrai la réalisation de cet échangeur, quitte à ce que sonatrach, qui dans cette opération, procèdera au changement de son pipe-line qui date de 1958 vers un autre endroit. Cette société doit s’inscrire dans l’étude du développement et la modernisation que connaît la wilaya et les travaux se poursuivront jusqu’à sa réalisation totale.» Certes, plusieurs projets en hibernation ont été lancés grâce au courage et à la volonté inébranlable du wali qui s’est totalement impliqué depuis son arrivée dans les grands chantiers que connaît la wilaya de Béjaïa. Par ailleurs, le calvaire des usagers de la RN26 reliant Béjaïa à Bouira se poursuit avec les nombreux encombrements sur cet axe où il faut plus de trois heures d’attente dans des embouteillages interminables pour traverser les 50 kilomètres qui séparent la ville de Tazmalt et celle d’El-Kseur. En attendant la réalisation de l’évitement de Sidi Aïch et surtout le lancement de la pénétrante vers l’autoroute Est- Ouest, les usagers de l’axe de la vallée de la Soummam doivent encore tenir, pour quelques années, leur mal en patience, jusqu’à la réalisation de ces deux projets en phase d’étude.
M. LAOUER - bejaiainfo.com
Truthseeker- Inconnu(e)
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- Message n°72
Re: Topic de l'Actu
MEDAILLLLLLLLLLLLLLLLE DOOOOOORRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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- Message n°75
Re: Topic de l'Actu
Restauration désastreuse: "Le curé m'a demandé de le faire"
En Espagne, une paroissienne a tenté de restaurer Ecce Homo, une peinture représentant le Christ, provoquant la colère chez les uns et le rire chez les autres. Elle s'explique.
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L'histoire a fait le tour du Web. A Borja, en Espagne, une paroissienne octogénaire bienveillante a voulu restaurer une peinture du Christ endommagée, Ecce Homo de Elias Garcia Martinez : le résultat est désastreux. On a d'abord cru au canular - il faut dire que la ressemblance avec un singe est flagrante - puis on a parlé de "pire restauration du monde". On n'est pas loin de la vérité et sur Internet, les détournements vont bon train.
Depuis, la paroissienne s'est expliquée : elle assure que le curé lui a demandé de retoucher la peinture datant du XIXe siècle. Elle ajoute l'avoir fait au vu et au su de tout le monde. N'empêche, la petite fille du peintre est dévastée devant cette oeuvre, et la paroisse entière attend la suite : un restaurateur professionnel pourra-t-il sauver le tableau?
lexpress.fr
En Espagne, une paroissienne a tenté de restaurer Ecce Homo, une peinture représentant le Christ, provoquant la colère chez les uns et le rire chez les autres. Elle s'explique.
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L'histoire a fait le tour du Web. A Borja, en Espagne, une paroissienne octogénaire bienveillante a voulu restaurer une peinture du Christ endommagée, Ecce Homo de Elias Garcia Martinez : le résultat est désastreux. On a d'abord cru au canular - il faut dire que la ressemblance avec un singe est flagrante - puis on a parlé de "pire restauration du monde". On n'est pas loin de la vérité et sur Internet, les détournements vont bon train.
Depuis, la paroissienne s'est expliquée : elle assure que le curé lui a demandé de retoucher la peinture datant du XIXe siècle. Elle ajoute l'avoir fait au vu et au su de tout le monde. N'empêche, la petite fille du peintre est dévastée devant cette oeuvre, et la paroisse entière attend la suite : un restaurateur professionnel pourra-t-il sauver le tableau?
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